Bonjour à toutes (je ne crois pas qu'il y ait des hommes sur le forum)
Petite présentation : j'ai 28 ans et j'ai commencé l'équitation à l'âge de 7 ans chez des particuliers qui possédaient un hongre arabe-barbe et une jument connemara. Pendant 10 ans ils m'ont appris non seulement à monter à cheval mais aussi et surtout à m'en occuper. J'ai fait une pause durant mes études universitaires suite à la mise en retraite de leurs chevaux et de mon dégoût des clubs que j'avais visité puis j'ai repris avec une demi-pension sur un cheval professeur pour me remettre en selle. J'ai ensuite trouve une super écurie proche de mon appartement (les écuries des acacias à Marines) et j'ai pris une jument shagya en dp endurance jusqu'à ce qu'elle soit vendue. J'ai ensuite eu un jeune fjord de 4 ans en dp pour me former au travail des jeunes chevaux.
J'ai toujours été fascinée par les entiers et les étalons mais je ne pensais pas avoir le niveau pour en gérer un. Les années passant j'ai été amené à en fréquenter et j'ai lu tout ce que je pouvais trouver sur le sujet (même si je ne suis toujours pas sûre d'avoir le niveau). Quand j'ai commencé à regarder sérieusement les annonces, j’étais attiré vers les annonces de poulains mâles mais j'attendais le coup de cœur et la situation parfaite.
Au cours des diverses fêtes du shagya auxquelles j'ai assisté, j'ai rencontré des propriétaires particuliers qui possédaient une superbe jument shagya très gentille et douce, Apiraï. En septembre 2010, ils m'ont proposé de réserver le futur poulain d'Apiraï et de choisir l'étalon : j'ai accepté leur proposition avec joie et je me suis lancée dans l'étude approfondie de tous les reproducteurs shagyas français afin de trouver le meilleur étalon possible pour compléter les qualités et défauts de la jument. J'ai choisis l'étalon Djardan et j'avais le secret espoir d'avoir un petit mâle bai sans balzane que je pourrais garder entier et il semblerait qu'Apiraï m’aie entendu car Caïdan correspond exactement à ce que j'espérais!!!
Il vit encore avec sa mère jusqu'à son sevrage en avril 2013 puis il arrivera près de moi où il sera en pension chez les gens qui m'ont appris à monter à cheval
Au programme : vie au pré avec abris en durs en compagnie d'un hongre professeur, surveillance constante et attentive, juments dans les près avoisinant (mais sans contacts directs entre les chevaux) et si tout se passe bien, une vie d'entier pour lui !